Je
pars sur l’île tranquille que mon cœur aime,
où
l’eau est si douce qu’elle vous berce comme un bébé.
Et
de cette île, j’irai sur d’autres îles,
jusqu'à une île au milieu d’un lac salé,
lové au creux d'une île maternelle.
Là-bas, les îles ressemblent à des points de suspension,
comme si la mer se perdait dans ses rêves.
Là-bas, les îles ressemblent à des points de suspension,
comme si la mer se perdait dans ses rêves.
A
chaque départ vers des lieux déjà connus,
il
murmure, mon cœur, la phrase du grand Marcel :
Le vrai voyage, ce n’est
pas de chercher de nouveaux paysages, mais un nouveau regard.
Je
serai loin pour deux semaines.
Les ressources étant précieuses sur les îles,
les
billets seront versés ici au compte-goutte.