jeudi 12 avril 2018

Vivre : jour de lessive


Venezia / 2011


Le matin, sentir les effluves du linge s'aventurer dans l’atmosphère engourdie.
Le soir, ramener au fond des draps des senteurs sauvages et intrépides.
La nuit, s’évader en compagnie de mille et une particules parfumées. Rêver.

2 commentaires:

  1. Coucou Dad. Alors j'aime bien la symétrie dans ta photo. Par contre, je déteste faire la lessive... argghhhhhhhhhhhh. :-) Bises alpines ensoleillées.

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  2. oh! mince alors! j'ose à peine avouer que c'est... un plaisir pour moi. Du reste, j'aime presque toutes les tâches ménagères (à part l'aspi qui fait trop de bruit à mon goût, et le repassage, que je trouve inutile). Elles ont toujours été pour moi, loin d'une obligation peu valorisante et mal reconnue, un symbole de détente et de bien-être (partagées 50/50 avec R.). Jusqu'à peu : un excellent dérivatif pour oublier les soucis du boulot. Je m'arrange pour écouter une émission intéressante en podcast, et je récupère du linge qui embaume, une SDB limpide, des vitres claires. Nettoyer mon chez-moi, c'est comme une extension des soins corporels, une manière de prendre de soin de mon quotidien. A cause du fait que ces tâches ont été non rétribuées et féminines pendant longtemps, je les trouve injustement dévalorisées. Ma théorie,c'est qu'elles devraient être reconsidérées, que chacun devrait faire sa part, avec bonheur, quitte à s'échanger certaines tâches qu'on n'aime pas avec son/sa partenaire de vie. Mais je crois que ma théorie est très loin d'être partagée!!! Dad

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