La danse des couleurs / Brygida Ochaim / Loïe Füller / 1988 / Biennale de la danse / Lyon
Ces temps où vivre le présent, l'expérimenter intensément, l'éprouver, le contempler, le savourer pourquoi pas ?, ces temps où s'efforcer de rester, rester vraiment dans l'instant est plus que jamais ardu, tendus que nous sommes vers un hypothétique futur, et nostalgiques - incroyable mais vrai - d'un récent passé par trop idéalisé.
Dans un froissement d'aile
RépondreSupprimeren silence de plume
elle descendit sur terre
Femme oiseau ou femme papillon, elle surprend par sa légèreté (je ne sais pas si tu as cliqué sur le lien pour voir la danse) et, en même temps, elle sait si bien garder les pieds sur terre. Voler, voltiger, sans perdre l'équilibre. Tout un art.
SupprimerBelle soirée.
Ce récent passé n'a été qu'une parenthèse pour certains, ils reprennent leurs habitudes comme si rien ne s'était passé, avec leur soif d'acheter, de dépenser. Cela aurait pu être différent, c'est dommage...
RépondreSupprimerC'est marrant, ce que tu écris : dépenser pour éviter de penser. C'est bien possible : éviter de remettre en question quoi que ce soit. Mais... le passé est-il vraiment passé ? la parenthèse est-elle vraiment fermée ? attendons, observons, restons ouverts au présent.
Supprimerbelle - même si pluvieuse - journée à toi!