jeudi 8 mars 2018

Vivre : de conserve


Statues romaines / Musées capitolins / Rome


Que le corps et l’esprit soient intimement liés, comment en douter ?
A peine le premier tombe-t-il malade que le second se retrouve fiévreux,
sans défenses, quasiment défectueux. Larmoyant comme le temps. 
Seule l'évaporation des maux ramène la cohérence des propos. 

2 commentaires:

  1. Coucou ma Dad. J'aime beaucoup cette photo. Une dans l'ombre, la souffrance. Et l'autre en pleine lumière mais quand même estropiée par la vie.
    Psychosomatiser... je sais ce que sais. Dès que je me stresse, j'ai des crampes d'estomac terribles. Tiens, ces temps, je me stresse pas mal. Alors j'apprends à respirer... et la respiration est bénéfique. Elle insuffle un vent nouveau qui balaie les angoisses. Bises alpines.

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  2. Oh! des crampes d'estomac? ça doit faire un mal de chien. A propos de respiration (qui doit effectivement bien apaiser ce genre de tensions)je suis allée respirer sur les hauteurs ce midi. Impressionnant de contempler de là-haut toute la pollution de la plaine. J'ai eu l'impression d'évacuer toutes les contaminations de ces derniers temps. Rien de tel que d'amples inspirations pour se remettre le corps à l'endroit. Belle fin de journée, chère Dédé (un temps idéal pour photographier les réveils de la nature aujourd'hui).

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