lundi 12 mars 2018

Vivre : le bouquet


Banksy / MOKO / 2016 / Amsterdam


Brouillard à perte de vue (et de vision).
Dans toute cette blancheur, de-ci de-là,
une crête une branche émergent et flottent.
Seules les tulipes apportent de chaudes notes.

2 commentaires:

  1. Coucou Dad. Ici, c'est neige à perte de vue... Et je commence vraiment...à en avoir marre. Il semblait qu'en plaine, vendredi, le printemps pointait le bout de son nez... mais ici... c'est le désert hivernal. Et cela me tombe sur le moral, en plus des autres choses. Alors je me demande si je ne devrais pas aller chercher des tulipes et mettre le bouquet au milieu de la table! Bises alpines et belle semaine malgré tout.

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  2. Pour tout te dire, hier (descente à Genève dans le brouillard et la pluie, longues colonnes dues au salon de l'auto, débarras lourd de choses tristes et vieilles) j'ai aussi ressenti comme un ras le bol, un intense ras le bol. Et c'est au retour en regardant les tulipes que j'ai repris courage. J'ai décidé d'entrer en résistance : des tulipes des tulipes des tulipes! Belle journée quand même, ma chère Dédé!

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