Coucou Dad. Quelle photo extraordinaire. Minimaliste et mystérieuse. J'aime beaucoup. Quant à la blancheur, je ne sais pas où elle va mais est-ce si important finalement? On va dire qu'elle se dissout dans l'univers. Bises de plaine du lundi.
Hier, le plateau de C. juste au-dessus de "ma" forêt, était un océan de blancheur et rares étaient les humanoïdes qui s'aventuraient dans les bourrasques. Il y régnait une atmosphère de polar nordique qui n'était pas pour me déplaire (peut-être que c'était l'assassin, là-bas, qui s'enfuyait, qui sait ?. La blancheur... je crois qu'elle est liée à un état (c'est de l'eau transformée en particules de glace, mixées avec de l'air). Quand cet état change par la fonte, la blancheur disparaît. Mais cette explication est trop pragmatique, il faut laisser à la neige et au paysage leur mystère et capter juste l'instant fugitif quand il se présente. Tout beau lundi, ma chère Dédé, merci pour tes nouvelles!
Une petite tache noire dans l'infiniment blanc, où va cet homme marchant d'un pas décidé ? Bientôt, il se fondra avec le blanc, et disparaîtra, emportant avec lui son secret... Réflexions toutes personnelles inspirées par cette très belle photo. ;-) Belle journée ensoleillée, Dad.
On dirait que moins il y a de signes dans une image et plus cela laisse de place pour l'imaginaire ? On se pose des questions, on imagine des réponses. Belle après-midi, chère Françoise, ici aussi il y a du soleil, un avant-goût de printemps.
Coucou Dad. Quelle photo extraordinaire. Minimaliste et mystérieuse. J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerQuant à la blancheur, je ne sais pas où elle va mais est-ce si important finalement? On va dire qu'elle se dissout dans l'univers. Bises de plaine du lundi.
Hier, le plateau de C. juste au-dessus de "ma" forêt, était un océan de blancheur et rares étaient les humanoïdes qui s'aventuraient dans les bourrasques. Il y régnait une atmosphère de polar nordique qui n'était pas pour me déplaire (peut-être que c'était l'assassin, là-bas, qui s'enfuyait, qui sait ?. La blancheur... je crois qu'elle est liée à un état (c'est de l'eau transformée en particules de glace, mixées avec de l'air). Quand cet état change par la fonte, la blancheur disparaît. Mais cette explication est trop pragmatique, il faut laisser à la neige et au paysage leur mystère et capter juste l'instant fugitif quand il se présente. Tout beau lundi, ma chère Dédé, merci pour tes nouvelles!
RépondreSupprimerUne petite tache noire dans l'infiniment blanc, où va cet homme marchant d'un pas décidé ?
RépondreSupprimerBientôt, il se fondra avec le blanc, et disparaîtra, emportant avec lui son secret...
Réflexions toutes personnelles inspirées par cette très belle photo. ;-)
Belle journée ensoleillée, Dad.
On dirait que moins il y a de signes dans une image et plus cela laisse de place pour l'imaginaire ? On se pose des questions, on imagine des réponses. Belle après-midi, chère Françoise, ici aussi il y a du soleil, un avant-goût de printemps.
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