Matins de brume, matins de rien, de quoi vont donc s'habiller ces matins ?
Les laisser être, ces jours timides, empruntés, en devenir. Les laisser mûrir.
Leur faire place, laisser éclore les larmes les casse-têtes les projets les sourires.
Rester curieux, rester debout, face à toutes ces énigmes, tout ce magma d'avenir.
Et accueillir en confiance, tout au moins en essayant...
RépondreSupprimerComme disait E Morin chez A Trapenard, ce matin, la vie humaine est une aventure consistant à attendre l’inattendu.
Belle fin de journée.
Attendre l'inattendu ? C'est une jolie formule!
SupprimerPerso j'aime mieux la vôtre : accueillir en confiance. Elle me correspond plus.
Belle soirée!
Bonjour,
RépondreSupprimerune pensée pour Paul Valéry (Le cimetière marin, dernière strophe) :
"Le vent se lève... ! Il faut tenter de vivre !"
Merci pour ce précieux commentaire.
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