Toi, oui, toi, Filippino, toi et Masaccio, le maître éclairant que tu n'as jamais rencontré, et Masolino et Sandro, le luxuriant Botticelli, et Brunelleschi le surdoué, comme il me tarde de revoir vos portraits. Tant de portes fermées, d'horaires chamboulés, de restaurations annoncées, tant de virus et d'obstacles durant ces dix dernières années. Mais maintenant, c'est bon, je viens de recevoir mon laissez-passer, rendez-vous est pris, attendez-moi, j'arrive. On va enfin pouvoir se retrouver en vrai!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire