Portrait de femme (détail) / Dirck Jacobsz / Mbba / Besançon
Ce sentiment de manque, parfois.
Et pourtant, tout est là.
On cherche ce qu'on a pu perdre.
On ne trouve pas.
Juste cette tristesse, nuage qui passe,
au creux de soi.
au creux de soi.
Ce sentiment de manque, ô combien je le ressens parfois, mais je ne sais lui donner de nom, je cherche, oui, ce que j'ai pu perdre, et je ne trouve pas. Chacun de tes mots me parle, Dad, j'aurais pu les écrire... Et ce matin, spécialement, juste une tristesse, un nuage qui passe au creux de moi... et je cherche en vain. Mais ce manque remonte sûrement à des temps si lointains que je ne saurai remonter jusqu'à eux.
RépondreSupprimerMais le soleil est là, le printemps, ne nous attardons pas trop sur cette légère tristesse, ce n'est qu'une brise légère, un brin de nostalgie peut-être.
Beau dimanche à toi, Dad, dont les mots résonnent en moi si souvent.
Je t'embrasse.
Je suis touchée à mon tour par tes mots. C'est vrai qu'il est difficile à cerner, ce sentiment, ou plutôt devrais-je dire cette émotion. C'est quelque chose de profond, une tristesse, mais rien de grave, rien qui ait trait à la dépression. C'est sans doute une perte ancienne, très ancienne, que quelque chose dans le présent, souffle, parole, luminosité, ramène à la mémoire. Belle après-midi à toi aussi.
SupprimerMe permettrais-tu, Dad, de citer tes mots sur mon blog (je mettrai le lien) pour écrire quelques mots à ce sujet et en faire un billet, ils me parlent tant...
RépondreSupprimerOui, naturellement.
RépondreSupprimerMerci Dad.
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