La photo pourrait avoir pour titre : les nœuages … ou les cord'nuages…
Il y a des milliards d'années-lumière qu'on semble appartenir à un chaos provisoire dont nous croyons connaître la définitive réalité. Dans l'immensité nous sommes réduits à penser petit.
Merci pour ce commentaire qui porte sur la forme et sur le fond, car l'inspiration était double. Ces nuages torsadés à l'aube étaient magnifiques. On pouvait penser à une corde, du linge essoré, des guirlandes festonnées. Et puis, à rester les observer, on ne pouvait que constater leur aspect éphémère et les laisser se dissiper. La nature nous invite tous les jours à constater la précarité de l'instant. En ce qui concerne ta dernière phrase : constater qu'on pense petit, est-ce vraiment penser petit? :) Toute belle soirée à toi.
Oh! un poème de Rilke. Il illustre parfaitement le billet. Merci pour ce beau cadeau (mon poète préféré, le parfum évanescent des roses, la profondeur dans la simplicité). Belle soirée (ici : journées parfaites, piscine à bonne température et cumulus dodus comme des moutons!)
Oui, car rien n'est figé, tout est impermanence, c'est ainsi et nous n'y pouvons rien changer.
RépondreSupprimerBelle journée ensoleillée à toi, Dad.
Oui, comme tu le dis, on ne peut rien changer on n'a aucune prise dessus. Belle soirée :)
SupprimerLa photo pourrait avoir pour titre : les nœuages … ou les cord'nuages…
RépondreSupprimerIl y a des milliards d'années-lumière qu'on semble appartenir à un chaos provisoire dont nous croyons connaître la définitive réalité. Dans l'immensité nous sommes réduits à penser petit.
Merci pour ce commentaire qui porte sur la forme et sur le fond, car l'inspiration était double.
SupprimerCes nuages torsadés à l'aube étaient magnifiques. On pouvait penser à une corde, du linge essoré, des guirlandes festonnées. Et puis, à rester les observer, on ne pouvait que constater leur aspect éphémère et les laisser se dissiper.
La nature nous invite tous les jours à constater la précarité de l'instant.
En ce qui concerne ta dernière phrase : constater qu'on pense petit, est-ce vraiment penser petit? :)
Toute belle soirée à toi.
Été
RépondreSupprimerÊtre pour quelques jours
Le contemporain des roses;
Respirer ce qui flotte autour
De leurs âmes écloses.
Faire de chacune qui se meurt
Une confidente,
Et survivre à cette sœur
En d’autres roses absente.
R M Rilke Les roses
Toute belle soirée
Oh! un poème de Rilke. Il illustre parfaitement le billet. Merci pour ce beau cadeau (mon poète préféré, le parfum évanescent des roses, la profondeur dans la simplicité).
SupprimerBelle soirée (ici : journées parfaites, piscine à bonne température et cumulus dodus comme des moutons!)