Loin de concevoir les contrariétés comme des restes, il s'agirait plutôt de les utiliser pour en faire quelque chose "pour" soi. Elles sont un défi à notre souplesse. L'inspiration du billet : l'autre jour, un marathon du côté du Léman nous a empêchés d'atteindre les rives où je voulais nager. Après avoir (un peu) pesté, nous avons découvert tout près d'ici un lieu enchanteur, une réserve ornithologique où nous balader. Belle journée! (ici, les nuages dégagent)
Ma mère avait un livre : « L'art d'accommoder les restes » ici on pourrait ajouter … les restes des contrariétés
RépondreSupprimerle résultat sera-t-il savoureux ?
Loin de concevoir les contrariétés comme des restes, il s'agirait plutôt de les utiliser pour en faire quelque chose "pour" soi. Elles sont un défi à notre souplesse. L'inspiration du billet : l'autre jour, un marathon du côté du Léman nous a empêchés d'atteindre les rives où je voulais nager. Après avoir (un peu) pesté, nous avons découvert tout près d'ici un lieu enchanteur, une réserve ornithologique où nous balader. Belle journée! (ici, les nuages dégagent)
Supprimer