"Avoir la tête dans le guidon", voilà une expression qui a tout son sens. Tous les matins, avant de quitter la maison, je vais au salon pour regarder par la fenêtre les montagnes en face. C'est un petit rituel qui me fait du bien et qui me permet de me connecter à l'essentiel avant le passage à la "futilité" de mon travail. Bises alpines.
>> Dédé et Françoise : tant de fois, nous risquons de passer à côté du merveilleux parce que nous sommes pressés, occupés par des priorités qui finalement peuvent se révéler n'être que des "futilités", comme tu dis si bien, Dédé. Or, le merveilleux, la beauté, la fragile splendeur de la vie sont là. Les arcs-en-ciels sont le symbole-même de ces phénomènes. Ils passent et pendant ce temps-là, souvent, trop de gens fixés sur leurs smartphones, ou pris par leurs fixations ou leurs ruminations (je me souviens, quand je prenais tous les jours le train, toutes ces têtes penchées tandis que les arcs qui se déployaient, et, en moi, comme une envie de les secouer, ce qui évidemment ne se fait pas!). Belle soirée à toutes les deux ! PS : j'ai vu trois arcs-en-ciel aujourd'hui, mais peut-être y en avait-il d'autres qui m'auront échappé ?
"Avoir la tête dans le guidon", voilà une expression qui a tout son sens. Tous les matins, avant de quitter la maison, je vais au salon pour regarder par la fenêtre les montagnes en face. C'est un petit rituel qui me fait du bien et qui me permet de me connecter à l'essentiel avant le passage à la "futilité" de mon travail. Bises alpines.
RépondreSupprimerJe ne baisse pas le regard, j'aime tant m'émerveiller de ce que je vois ! J'ai cette chance-là de vivre en un lieu qui m'enchante. :-)
RépondreSupprimer>> Dédé et Françoise : tant de fois, nous risquons de passer à côté du merveilleux parce que nous sommes pressés, occupés par des priorités qui finalement peuvent se révéler n'être que des "futilités", comme tu dis si bien, Dédé. Or, le merveilleux, la beauté, la fragile splendeur de la vie sont là. Les arcs-en-ciels sont le symbole-même de ces phénomènes. Ils passent et pendant ce temps-là, souvent, trop de gens fixés sur leurs smartphones, ou pris par leurs fixations ou leurs ruminations (je me souviens, quand je prenais tous les jours le train, toutes ces têtes penchées tandis que les arcs qui se déployaient, et, en moi, comme une envie de les secouer, ce qui évidemment ne se fait pas!). Belle soirée à toutes les deux ! PS : j'ai vu trois arcs-en-ciel aujourd'hui, mais peut-être y en avait-il d'autres qui m'auront échappé ?
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