Nous ne devrions pas interpréter mais nous fier uniquement à notre instinct, notre intuition. L'interprétation peut être faussée par des agents extérieurs à notre pensée. Belle semaine à toi, ma chère Dad.
Et pourtant, parfois il nous manque des éléments et on est obligé d'aller dans l'interprétation. Attention cependant à toujours avoir à l'esprit que tout cela n'est qu'une partie de la réalité. ;-)
>> Françoise et Dédé : L'interprétation, selon moi, relève du rationnel. L'intuition, de l'instinct. Il arrive, souvent, qu'on ne dispose pas de données suffisantes pour se faire une opinion, ou pour analyser clairement une situation. Je crois qu'il est difficile d'éviter les interprétations. En fait, nous n'arrêtons jamais je crois d'interpréter la réalité, selon notre vécu, nos expériences, notre "cartographie" du monde. Impossible de faire sans. Cela dit, il est justement nécessaire de prendre du recul face à cette "cartographie". Nous souvenir qu'elle est forcément personnelle, subjective et que de ce fait, face à d'autres réalités, elle peut nous induire en erreur. J'ai écrit ce petit billet parce que je m'interrogeais : il me semblait qu'il fallait user de la nécessaire interprétation avec modération et être attentif à ne jamais en abuser. Mais, quel défi! la seule solution, me semble-t-il : récolter une maximum d'informations objectives et ensuite interpréter, en guise d'hypothèse et avec précaution. Vaste débat, pour une si courte phrase! Belle soirée à toutes deux.
Dans l'idéal, et après une heure de méditation, je dirais oui. Dans la réalité quotidienne, avec ses exigences et ses rencontres, plutôt non. Face à un puzzle, il est nécessaire d'imaginer les pièces manquantes. Même si l'on peut s'apercevoir par la suite qu'on s'est trompé. Belle journée.
Nous ne devrions pas interpréter mais nous fier uniquement à notre instinct, notre intuition. L'interprétation peut être faussée par des agents extérieurs à notre pensée.
RépondreSupprimerBelle semaine à toi, ma chère Dad.
Et pourtant, parfois il nous manque des éléments et on est obligé d'aller dans l'interprétation. Attention cependant à toujours avoir à l'esprit que tout cela n'est qu'une partie de la réalité. ;-)
Supprimer>> Françoise et Dédé : L'interprétation, selon moi, relève du rationnel. L'intuition, de l'instinct. Il arrive, souvent, qu'on ne dispose pas de données suffisantes pour se faire une opinion, ou pour analyser clairement une situation. Je crois qu'il est difficile d'éviter les interprétations. En fait, nous n'arrêtons jamais je crois d'interpréter la réalité, selon notre vécu, nos expériences, notre "cartographie" du monde. Impossible de faire sans. Cela dit, il est justement nécessaire de prendre du recul face à cette "cartographie". Nous souvenir qu'elle est forcément personnelle, subjective et que de ce fait, face à d'autres réalités, elle peut nous induire en erreur.
RépondreSupprimerJ'ai écrit ce petit billet parce que je m'interrogeais : il me semblait qu'il fallait user de la nécessaire interprétation avec modération et être attentif à ne jamais en abuser. Mais, quel défi! la seule solution, me semble-t-il : récolter une maximum d'informations objectives et ensuite interpréter, en guise d'hypothèse et avec précaution.
Vaste débat, pour une si courte phrase! Belle soirée à toutes deux.
Pourquoi vouloir interpréter,
RépondreSupprimerapprendre à désapprendre
pour percevoir la réalité
:-)
Dans l'idéal, et après une heure de méditation, je dirais oui. Dans la réalité quotidienne, avec ses exigences et ses rencontres, plutôt non. Face à un puzzle, il est nécessaire d'imaginer les pièces manquantes. Même si l'on peut s'apercevoir par la suite qu'on s'est trompé. Belle journée.
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