Tôt le matin, j'avais réservé les billets,
et repéré des logements sympas dans le centre historique,
le quartier de Chiaia, ou près du port.
Bon, je m'y prenais très en avance,
mais, à l'entrée de l'hiver,
j'étais prise par des envies de soleil,
d'iode et de liberté.
Ensuite, exaspérée par la grisaille,
je suis partie en balade avec Ambrogio Sparagna :
Vorrei ballare per tutta una notte
su una terrazza della costiera
piena di gente che canta alla vita
ricca di fiori profumi e limoni.
Cento canzoni e cento tamburi
per ritardare l’arrivo del sole
così aspettare che il giorno ci prenda
portandoci dentro a mille rumori.
C'est en descendant de voiture
que j'ai découvert cette mer immense...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire