Altichiero / fresques de la chapelle San Giorgio / Padova
A vrai dire, c’est le froid, nos pieds gelés et malmenés par
les pavés, qui nous ont conduits à cette petite librairie perdue dans une
ruelle. A l’intérieur, nous attendait une véritable invitation aux voyages, terrestres,
maritimes, oniriques, musicaux : tout participait aux échanges. Nous
avons fini par dénicher le cadeau idéal pour ZB et un opuscule relié à la japonaise, où des chats étaient esquissés avec une grâce infinie. Assez absurdement, pour des
raisons qui m’étonnent encore, au vu de mon enchantement, j’ai décliné l'invitation généreuse de R. à me le laisser offrir.
Au fond de la boutique, deux adolescentes prenaient tout leur temps et emballaient avec une douce maladresse les cadeaux choisis. Malgré la place restreinte, on avait disposé ça et là quelques coussins. Une musique envoûtante réchauffait l’ambiance. Le libraire nous en a donné les références en nous souhaitant : Auguri ! Tante belle cose ! puis nous a laissés repartir, heureux, rassérénés, suivis par une pluie de notes.
Au fond de la boutique, deux adolescentes prenaient tout leur temps et emballaient avec une douce maladresse les cadeaux choisis. Malgré la place restreinte, on avait disposé ça et là quelques coussins. Une musique envoûtante réchauffait l’ambiance. Le libraire nous en a donné les références en nous souhaitant : Auguri ! Tante belle cose ! puis nous a laissés repartir, heureux, rassérénés, suivis par une pluie de notes.
Ah ces petites librairies magiciennes de nos envies...
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