Coucou Dad. Tiens... j'aime bien cette petite définition. Ne te connaissant pas en vrai, c'est ce que je perçois dans tes écrits. Curieuse, très érudite, critique sur la société qui nous entoure, un peu sauvageonne, solidaire, solitaire, tu croques la vie à pleines dents, dans ce qu'elle t'offre de plus beau. Et les coups durs, tu les transformes en réflexion pour avancer dans le bon sens et surtout ne pas reculer. Bises alpines... enneigées. (je vais rester au chaud, marre de cet hiver). P.S. pas un temps à faire de la bicyclette, même bleue.
La neige ? Oh! Quelle importune! Ne devrait-elle pas comprendre qu'il est temps pour elle de se retirer et laisser la place aux prés fleuris et aux belles vaches ? Ici, au bord des lacs, les sandales remplacent peu à peu les baskets. J'ai eu une discussion navrante ce matin avec le médecin "traitant" de ma mère. Désolant personnage, sans empathie ni charisme, ne connaissant rien du dossier, mais tout disposé à prescrire à tour de bras. Pour m'en remettre, effectivement, je suis allée m'attabler au bord du Léman. J'ai savouré mon repas en me disant qu'il faut croquer la vie, tant qu'on peut, à belles dents. Belle aprèm, chère Dédé. PS : je réalise que j'ai oublié de légender la photo : Bologne / août 2015.
En marge, sans être marginale, cela me ressemble aussi un peu. Et je rajouterai, en ce qui me concerne, un peu en décalage, surtout dans ma tête... :-) Bel après-midi, Dad.
Je ne sais pas si j'appellerais cela du décalage, mais souvent j'ai l'impression de ne pas comprendre le besoin d'accélération, de consommation autour de moi. Je sens que mes besoins de lenteur, de contemplation, de silence se heurtent aux rythmes de notre époque. Mais... bon... les oiseaux, les vaches et les lézards partagent mon point de vue et ça me suffit! belle après-midi à toi.
Pour moi le décalage, c'est être hors des soucis matériels et terre à terre de certains de mes proches, le décalage c'est aimer parler des oiseaux, de leurs chants, des fleurs, des papillons et qui ne semble pas émerveiller les autres, le décalage c'est me sentir puérile avec justement cet émerveillement de ces petites choses, et tant d'autres choses. Je pense que tu me comprends, Dad. :-)
Oh oui, je te comprends. Il y a juste l'adjectif "puérile" auquel je n'adhère pas. "puéril" revêt une connotation négative, alors que tu fais référence à un état d'émerveillement proche de l'enfance, ce qui est très positif. Du reste, j'ai toujours pensé, quoi qu'on en dise, qu'on ne retombe jamais en enfance, mais qu'on y remonte. Belle et douce nuit.
Et des grillons... vous faites quoi les filles ? On se croirait dans le Midi depuis quelques jours chez nous, malgré la fraicheur :) Belles photo et pensée, comme toujours... merci Dad ! Bonne fin de semaine. Bises.
Coucou Dad. Tiens... j'aime bien cette petite définition. Ne te connaissant pas en vrai, c'est ce que je perçois dans tes écrits. Curieuse, très érudite, critique sur la société qui nous entoure, un peu sauvageonne, solidaire, solitaire, tu croques la vie à pleines dents, dans ce qu'elle t'offre de plus beau. Et les coups durs, tu les transformes en réflexion pour avancer dans le bon sens et surtout ne pas reculer. Bises alpines... enneigées. (je vais rester au chaud, marre de cet hiver).
RépondreSupprimerP.S. pas un temps à faire de la bicyclette, même bleue.
La neige ? Oh! Quelle importune! Ne devrait-elle pas comprendre qu'il est temps pour elle de se retirer et laisser la place aux prés fleuris et aux belles vaches ? Ici, au bord des lacs, les sandales remplacent peu à peu les baskets. J'ai eu une discussion navrante ce matin avec le médecin "traitant" de ma mère. Désolant personnage, sans empathie ni charisme, ne connaissant rien du dossier, mais tout disposé à prescrire à tour de bras. Pour m'en remettre, effectivement, je suis allée m'attabler au bord du Léman. J'ai savouré mon repas en me disant qu'il faut croquer la vie, tant qu'on peut, à belles dents. Belle aprèm, chère Dédé.
SupprimerPS : je réalise que j'ai oublié de légender la photo : Bologne / août 2015.
En marge, sans être marginale, cela me ressemble aussi un peu.
RépondreSupprimerEt je rajouterai, en ce qui me concerne, un peu en décalage, surtout dans ma tête... :-)
Bel après-midi, Dad.
Je ne sais pas si j'appellerais cela du décalage, mais souvent j'ai l'impression de ne pas comprendre le besoin d'accélération, de consommation autour de moi. Je sens que mes besoins de lenteur, de contemplation, de silence se heurtent aux rythmes de notre époque. Mais... bon... les oiseaux, les vaches et les lézards partagent mon point de vue et ça me suffit! belle après-midi à toi.
RépondreSupprimerPour moi le décalage, c'est être hors des soucis matériels et terre à terre de certains de mes proches, le décalage c'est aimer parler des oiseaux, de leurs chants, des fleurs, des papillons et qui ne semble pas émerveiller les autres, le décalage c'est me sentir puérile avec justement cet émerveillement de ces petites choses, et tant d'autres choses. Je pense que tu me comprends, Dad. :-)
SupprimerOh oui, je te comprends. Il y a juste l'adjectif "puérile" auquel je n'adhère pas. "puéril" revêt une connotation négative, alors que tu fais référence à un état d'émerveillement proche de l'enfance, ce qui est très positif. Du reste, j'ai toujours pensé, quoi qu'on en dise, qu'on ne retombe jamais en enfance, mais qu'on y remonte. Belle et douce nuit.
SupprimerEt des grillons... vous faites quoi les filles ? On se croirait dans le Midi depuis quelques jours chez nous, malgré la fraicheur :)
RépondreSupprimerBelles photo et pensée, comme toujours... merci Dad !
Bonne fin de semaine. Bises.
Coucou, Julie, des grillons ? Oui, et aussi des crapauds, des grenouilles, des coucous, et ... des ratons-laveurs. Beau, long et chaud WE à toi.
SupprimerHors-piste
RépondreSupprimerpour mieux suivre la piste
mais notre propre piste choisie en toute liberté
:-)
Oups ! une ligne s'est envolée
RépondreSupprimerHors-piste
pour mieux suivre la piste
non pas celle que la société a choisi pour nous
mais notre propre piste choisie en toute liberté
:-)
Hors des sentiers balisés dans des pistes que nous auront tracées, selon nos véritables envies et nos enviables vérités.
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