Coucou Dad. Un petit voyage en Espagne alors? J'aime ta photo, un peu psychédélique. Quant au texte, c'est un gros travail sur soi que d'accepter ses faiblesses. Quand je me retrouve crevée en fin de semaine et que j'ai envie de faire plein de choses mais que je n'y arrive pas, je dois vraiment me conditionner pour accueillir la fatigue et arrêter de trop en faire... Mais ce n'est pas simple.
Cette cathédrale est majestueuse et austère, mais quand le soleil joue avec les vitraux, elle se met à la movida. Cohabiter avec soi, c'est un peu comme l'amour : on prend l'ensemble du pack ou pas. Accepter, finalement, c'est peut-être le meilleur moyen de réussir à avancer. Quant à lutter, surtout contre sa fatigue, ça finit par terriblement fatiguer. Oui, un peu de mer, un peu d'insularité, un peu de relax au Sud, histoire de me préparer car dès la semaine prochaine, je vais me faire dresser par mon jeune canidé. Beau lundi, Dédé.
J'espère que tu ne mordras pas trop fort. :-) J'ai vu le dernier Almodovar samedi. Quel extraordinaire jeu de Banderas. J'ai trouvé vraiment superbe. Par contre, tu avais raison, que de couleurs flashy... les catelles turquoises dans la cuisine... :-))
En principe, je ne mors pas, et je déteste aboyer. Je défends en revanche jalousement mon territoire et surtout, surtout!, question Canigou, je fais ma difficile : pas question de boîtes, ni de produits industriels, je sens que je vais faire ami-ami avec le boucher. Quant à Banderas... (soupirs...) n'est-il pas bouleversant de fragilité, d'émotions mal retenues, de souvenirs encaissés ? Et sa mère qui ose lui reprocher de n'avoir point été un bon fils! Banderas... c'est dommage que j'accueille Pedro, parce que Banderas, je l'aurais bien adopté! Allez, belle soirée, le ciel ici est en train de m'annoncer quelques gouttes de pluie.
Tu sais quoi,je le trouve vraiment très touchant le Antonio, et beau. Et le passage avec sa mère âgée, quand ils jouent les deux cartes sur table, c'est tellement bien joué, de la part des deux acteurs. Bref, un beau film, vraiment. (je vais rarement au cinéma, et quand j'y vais, il faut que ce soit un bon film).
Tu pourrais adopter Antonio pour qu'il promène un peu Pedro, quand tu seras en train de visiter le boucher pour le canigou. :-))
Coucou Dad. Un petit voyage en Espagne alors?
RépondreSupprimerJ'aime ta photo, un peu psychédélique.
Quant au texte, c'est un gros travail sur soi que d'accepter ses faiblesses. Quand je me retrouve crevée en fin de semaine et que j'ai envie de faire plein de choses mais que je n'y arrive pas, je dois vraiment me conditionner pour accueillir la fatigue et arrêter de trop en faire...
Mais ce n'est pas simple.
Bises de plaine.
Cette cathédrale est majestueuse et austère, mais quand le soleil joue avec les vitraux, elle se met à la movida. Cohabiter avec soi, c'est un peu comme l'amour : on prend l'ensemble du pack ou pas. Accepter, finalement, c'est peut-être le meilleur moyen de réussir à avancer. Quant à lutter, surtout contre sa fatigue, ça finit par terriblement fatiguer.
RépondreSupprimerOui, un peu de mer, un peu d'insularité, un peu de relax au Sud, histoire de me préparer car dès la semaine prochaine, je vais me faire dresser par mon jeune canidé. Beau lundi, Dédé.
J'espère que tu ne mordras pas trop fort. :-)
RépondreSupprimerJ'ai vu le dernier Almodovar samedi. Quel extraordinaire jeu de Banderas. J'ai trouvé vraiment superbe. Par contre, tu avais raison, que de couleurs flashy... les catelles turquoises dans la cuisine... :-))
En principe, je ne mors pas, et je déteste aboyer. Je défends en revanche jalousement mon territoire et surtout, surtout!, question Canigou, je fais ma difficile : pas question de boîtes, ni de produits industriels, je sens que je vais faire ami-ami avec le boucher.
RépondreSupprimerQuant à Banderas... (soupirs...) n'est-il pas bouleversant de fragilité, d'émotions mal retenues, de souvenirs encaissés ? Et sa mère qui ose lui reprocher de n'avoir point été un bon fils! Banderas... c'est dommage que j'accueille Pedro, parce que Banderas, je l'aurais bien adopté! Allez, belle soirée, le ciel ici est en train de m'annoncer quelques gouttes de pluie.
Tu sais quoi,je le trouve vraiment très touchant le Antonio, et beau. Et le passage avec sa mère âgée, quand ils jouent les deux cartes sur table, c'est tellement bien joué, de la part des deux acteurs. Bref, un beau film, vraiment.
Supprimer(je vais rarement au cinéma, et quand j'y vais, il faut que ce soit un bon film).
Tu pourrais adopter Antonio pour qu'il promène un peu Pedro, quand tu seras en train de visiter le boucher pour le canigou. :-))
Bises alpines en attente de la pluie.