mercredi 3 octobre 2018

Habiter : ce qu'on tient pour acquis








Tous les matins, vivre ce miracle :
passer de la nuit abreuvée d'étoiles
à l'innocence d'une image pastel.
Tous les soirs, basculer inversement.
Et tous les jours, et sans la moindre défaillance.
Parfois, réaliser vraiment l'aspect ébouriffant
de ce miracle renouvelé incessamment.

2 commentaires:

  1. Coucou. Hier soir, justement, j'ai commencé un nouveau travail en photographie. Je dois photographier aux heures bleues et ne laisser apparaître qu'une seule couleur tonique dans le décor... difficile car je n'ai pas de trépied et il y a peu de lumière. D'ailleurs, je me suis énervée au lieu de m'imprégner de l'atmosphère. :-)
    Heureusement, ce matin, j'étais calmée et j'ai pu assister à un super lever de soleil. Bises de plaine.

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  2. Génial, ce genre de devoir à réaliser. D'après ma modeste expérience, les heures bleues du soir sont plus faciles à saisir que celles du matin (plus floues). T'énerver? Allons, bon. Fais comme Doisneau et regarde, regarde, regarde et... quand le bleu idéal entre dans ton appareil, tu fais "clac!". Un site reposant que j'aime aller visiter, juste pour le plaisir : http://www.matthieuricard.org/photographies/paysages . Allez, belle aprem, ma chère Dédé!

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