vendredi 26 juillet 2019

Vivre : avant le coucher





Les chiens aboient. 
Les orages passent. 
Pas la moindre goutte.
Seul le lac recueille
une pluie de rose.

8 commentaires:

  1. Coucou ma Dad. Tout comme toi, j'ai attendu les orages hier mais rien n'est venu. Hier matin, il a fait très chaud, j'en ai profité pour aller sur ma chaise longue sur le balcon. :-) Hier après-midi, le ciel s'est chargé et hier soir, on a vraiment cru que les cumulo-nimbus allaient se vider. Hélas, l'orage est passé sur les Alpes sud mais rien chez nous. J'ai pesté et invoqué les dieux mais ils ne m'ont pas écoutée. Et ce matin, grand ciel bleu mais je crois bien que cela va changer. C'est ainsi, les chiens continuent à aboyer et on espère un peu de fraîcheur. Bravo pour tes photos avec ces magnifiques couleurs. Bises alpines et belle journée.

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  2. Je me souviens de l'été 2015, une année particulièrement chaude, nous parcourions les routes de Toscane à la recherche d'un peu de pluie. Nous voyions au loin les orages se montrer, et nous les poursuivions avec acharnement, mais nous n'avons pas pu en voir un seul éclater. Frustration caniculaire…
    Allez, je te souhaite un WE bien arrosé. Dieu que la pluie est douce en été.
    PS : quand mes photos sont réussies, c'est uniquement dû au paysage qui fait le beau pour la photo!

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    1. En 2015, j'étais dans les Dolomites début août. C'était merveilleux d'avoir ce soleil si généreux et en altitude, il faisait bon.
      En ce qui concerne les photos, je sors de ma zone de confort, j'expérimente le portrait de rue et le travail sur les textures et matières. (j'en bave...):-))

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  3. Les photos de rue, quand je vois celles de Vivian Maier, ou de Helen Lewitt, ou de Doisneau, je me demande : comment faisaient-ils pour se faire oublier ? N'est-il pas plus simple à présent de les prendre avec un smartphone performant ? C'est sûr : des sujets pas faciles à traiter, qui en font baver. Souviens-toi de Doisneau : patience, patience et encore de la patience. Il disait " il faut avoir la patience d'un pêcheur de ligne". Allez, courage, Dédé, je me réjouis de découvrir la récolte!

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  4. Ah non. Je suis au portrait de rue. Donc je ne dois pas me faire oublier car je dois avoir une interaction avec le personnage avant de lui tirer le portrait. Ce qui a été difficile à réaliser. Il faut se présenter puis mettre la personne en confiance, cadrer et clic. 😊

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    1. Je comprends mieux. ça me fait penser à "Visages villages" d'Angès Varda : elle sait si bien parler aux gens, quels qu'ils soient, les mettre en confiance. J'ai adoré ce documentaire. Sauf que toi, si je comprends bien, tu as peu de temps. Il te faut établir le contact en quelques minutes. La seule solution est d'aller vers ceux qui te sont sympathiques ou te semblent ouverts ? A Berne, il y a bcp de gens qui mendient. Je me dis que les photographier, c'est raconter en une seconde leur histoire.

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    2. Si cela t'intéresse, je pourrai t'envoyer les portraits que j ai fait. 😊

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