Seul, face à des milliers, des centaines
et des centaines de milliers de flocons,
le merle impassible accueille la saison.
La solitude n'a aucune réalité, aucune évidence
(quelle pourrait être sa consistance?)
Une sensation, un sentiment, peut-être,
que le vent obstiné se hâtera d'emporter.
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