Janvier, mois de l'entre-deux, début où rien ne recommence, en latence,
lové dans son paysage neigeux, chargé d'attentes, se hâtant lentement,
entre intempéries et éclaircies, vers une année dont on espère les offrandes.
entre intempéries et éclaircies, vers une année dont on espère les offrandes.
Coucou. Je n'aimais pas trop janvier en plaine, du temps que j'étais à L. Souvent sous le brouillard, j'imaginais mon Valais natal au soleil. Aujourd'hui, je suis de retour dans ce Valais. Mais à 1660 mètres, l'hiver est rigoureux. Je ne m'en plains pas, j'observe cette nature qui se recroqueville mais qui continue à vivre. Pour preuve toutes ces traces dans les talus ou en lisière de forêt qui montrent que les animaux continuent leurs petites affaires. Et quel plaisir de voir les mésanges qui piaillent dans leur mangeoire, sans doute pour me remercier de leur donner des graines.
RépondreSupprimerJ'aime ta photo qui illustre bien cet entre-deux, entre clarté et obscurité, entre soleil et nuages, entre couleurs chaudes et couleurs froides.
Bises de plaine bien fraîches.
Janvier est un mois très particulier (bon, on pourrait dire qu'ils le sont tous). J'ai souvent l'impression que l'année tarde à se mettre en route, qu'on patine (c'est le cas de le dire) et que les choses sont comme congelées (c'est le cas de le dire aussi). J'attends que les projets s'assemblent comme des pièces de puzzle. Mais te concernant, d'après les nouvelles que tu m'as données, très bonnes nouvelles d'habitat et de travail, il semble que pour toi l'année ait commencé ... sur le chapeaux de roue et en beauté. Comme quoi, les années se suivent et ne se ressemblent pas. Ta nouvelle concernant le chalet m'a ravie : rien de plus stimulant qu'une maison à revaloriser. Très très beau lundi!
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