mardi 14 juillet 2020

Vivre : une question d'équilibre


Epigée rouge dos (détail) / Claude Garache / Fondation Planque / Musée Granet / Aix-en-Pce

Entre le vide et le trop-plein, quel besoin de toujours exiger l'équilibre ?
Ces moments d'excès, pourquoi ne pas simplement les vivre ? 
Les prendre comme ils vont, les prendre comme ils viennent,
juste pour ce qu'ils sont et les laisser s'évaporer en toute liberté ?

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    ne pas juger, ne pas repousser, ne pas se refuser les excès d'un moment - et ne pas stocker de regrets en soi.
    Je me sers une bonne bière, tiens, c'est le 14 Juillet après tout, non ? - Santé !
    Affligem Florem à la fleur de sureau, allez !
    Avec olives et cacahuètes même.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Affligem Florem ? Tiens, si l'on m'avait dit qu'en publiant ce billet je découvrirais une nouvelle bière! A vrai dire, en écrivant, je pensais à ces trop-pleins d'activités ou de relations sociales (respectivement ces moments de vide) qui peuvent arriver. Je pensais à cette recherche éperdue, cette manière de surréagir, de combler ou de se plaindre. Je pensais au stress qui monte et au sentiment de vacuité, qu'on peut laisser passer, tout simplement. Tout simplement.
      Mais... grande amateure de bière, ton commentaire m'a enchantée. Merci pour la découverte. Boire une bonne bière... est-ce un excès ? N'est-ce pas une manière exquise de fêter la vie ? Surtout un 14 juillet!

      Supprimer