Au-dessus des contreforts, de lourds nuages menaçaient.
Et, par-delà la chape immense, les vents tourbillonnaient.
Cependant, au-delà, tout au fond, on croyait percevoir
une brèche, une déchirure, une lueur, un espoir,
l'espoir d'un soleil, peut-être, quelque part.
Le soleil est là. Au fond de nos coeurs. Il faut savoir souffler quand les nuages deviennent trop menaçants, pour les chasser bien loin. C'est ce que je te souhaite pour 2019. Souffler, respirer et tourbillonner. Bises marines et montagneuses à la fois.
RépondreSupprimerTous mes vœux à toi en ce premier janvier, chère Dédé, sur ton île montagneuse et probablement venteuse et ensoleillée.
RépondreSupprimerEn fait, là-haut, il faisait bon froid et il faisait bon imaginer qu'il y avait du soleil ailleurs, quelque part. Le post ne contenait pas un message métaphorique, c'était un phénomène atmosphérique, pas de mise en scène, juste un moment, vécu sur les hauteurs jurassiennes et photographié de mon mieux.
Cela dit, oui, il y a toujours un soleil en nous, qui nous illumine chaque jour, si on veut bien le voir... bonnes et tonifiantes randonnées, chère Dédé! Profite!