Trittico dei Frari (détail) / Giovanni Bellini / Sta Maria Gloriosa dei Frari / Venise
Sans y exceller, sans rien forcer,
il est utile de savoir le pratiquer.
Seulement deux ou trois mots
consolidant les rapports sociaux.
Que ferait-on sans le small talk ?
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RépondreSupprimerMince. Mauvaise manipulation. (j'ai utilisé un vieux profil google)...
RépondreSupprimerJe disais donc qu'il me semble que je ne suis pas trop mauvaise à cet exercice mais je dois dire que je m'en lasse très vite... Bises alpines du soir. Et bonne canicule...
Et moi donc, je ne peux pas dire que je sois très douée, c'est dire si cela me demande pas mal d'efforts. De plus : je rechigne à trop en faire. Mais... je crois que ces efforts pas trop forcés valent la peine. C'est bon pour la vie en société, ça met de l'huile dans les rouages (à vrai dire, en écrivant, je pensais à notre vie de quartier, ici, qui ne connaît pas de conflits ni de tensions malgré les différences. Je crois que les conflits de voisinage sont de gros broyeurs d'énergie, dont on peut bien se passer) En faisant des recherches, j'ai vu ensuite que le concept est devenu très prisé dans le domaine des RH. C'est vrai que dans le milieu professionnel, sans être faux-cul ou mielleux, garder des contacts courtois, à défaut d'être chaleureux, permet de sauvegarder le dialogue quand le terrain miné. Nous en savons quelque chose...
RépondreSupprimerBelle fin de WE ensoleillé, ma belle!