Suis pas sûr de le retenir bien longtemps… je ne suis quasiment pas sorti de chez moi depuis Noël. Soit le ciel est bleu et il fait froid : donc je ne sors pas vu mon intolérance au froid. Soit il fait plus doux (ma limite c'est environ + 12°)… et alors il pleut !… Et en fauteuil roulant, sous la pluie, tu as vite le cul trempé comme dans une cuvette. Sans compter les ennuis de l'électronique du fauteuil s'il y a de l'humidité… (Mais c'est évidemment une réflexion très perso… je reconnais que l'hiver peut avoir ses charmes…)
Suis d'accord avec toi : beaucoup de gens souffrent du froid et de ses rigueurs. L'hiver est une saison cruelle à maints égards et le printemps a un effet positif, non seulement en luminosité et température, mais aussi sur le plan symbolique. On attend cet espoir de renouveau, on en a besoin (dans la nature à l'unisson : la forêt se dore de chatons, les oiseaux se mettent à nicher, toutes sortes de fleurettes tapissent les sols). Cette semaine, ici il y a eu alternance d'averses, de tourmentes et de moments printaniers. Des extrêmes, en matière de lumière et de ressentis. Bref, la météo, grande enseignante en impermanence, qui bouscule nos baromètres intérieurs. L'organisme peine à suivre ces météos en yoyo. D'où mon désir d'hiver continu... jusqu'à un "vrai" printemps : rester dans une saison à la fois, pour en profiter, sans devoir toujours changer (tenue, activité, perspective). Et puis, il y a le silence de l'hiver, l'esthétique épurée de l'hiver, l'intériorité liée à l'hiver, qui rendent cette saison si nécessaire à mes yeux et qu'il me faut absolument traverser.
PS : As-tu pensé au tissu polaire pour t'habiller, des vêtements pour alpinistes ? Redoutablement chauds.
Suis pas sûr de le retenir bien longtemps…
RépondreSupprimerje ne suis quasiment pas sorti de chez moi depuis Noël. Soit le ciel est bleu et il fait froid : donc je ne sors pas vu mon intolérance au froid. Soit il fait plus doux (ma limite c'est environ + 12°)… et alors il pleut !… Et en fauteuil roulant, sous la pluie, tu as vite le cul trempé comme dans une cuvette.
Sans compter les ennuis de l'électronique du fauteuil s'il y a de l'humidité…
(Mais c'est évidemment une réflexion très perso… je reconnais que l'hiver peut avoir ses charmes…)
Suis d'accord avec toi : beaucoup de gens souffrent du froid et de ses rigueurs. L'hiver est une saison cruelle à maints égards et le printemps a un effet positif, non seulement en luminosité et température, mais aussi sur le plan symbolique. On attend cet espoir de renouveau, on en a besoin (dans la nature à l'unisson : la forêt se dore de chatons, les oiseaux se mettent à nicher, toutes sortes de fleurettes tapissent les sols).
SupprimerCette semaine, ici il y a eu alternance d'averses, de tourmentes et de moments printaniers. Des extrêmes, en matière de lumière et de ressentis. Bref, la météo, grande enseignante en impermanence, qui bouscule nos baromètres intérieurs. L'organisme peine à suivre ces météos en yoyo. D'où mon désir d'hiver continu... jusqu'à un "vrai" printemps : rester dans une saison à la fois, pour en profiter, sans devoir toujours changer (tenue, activité, perspective). Et puis, il y a le silence de l'hiver, l'esthétique épurée de l'hiver, l'intériorité liée à l'hiver, qui rendent cette saison si nécessaire à mes yeux et qu'il me faut absolument traverser.
PS : As-tu pensé au tissu polaire pour t'habiller, des vêtements pour alpinistes ? Redoutablement chauds.