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Il y les unisexes et les sexuellement orientés.
Il y a les propres et les carrément nets.
Il y en a parfois même des luxueux, des sophistiqués.
Il y a les originaux, les carrément confortables. Les étonnants.
Il y a les originaux, les carrément confortables. Les étonnants.
Il y a ceux des autoroutes, des trains, des stations d’essence.
Et les aseptisés dans les aéroports.
Il y a les occupés. Et les hors d’usage. Il y a ceux qui se font attendre.
Et les aseptisés dans les aéroports.
Il y a les occupés. Et les hors d’usage. Il y a ceux qui se font attendre.
Il y a ceux dont on dit qu’ils sont un reflet de la qualité de
l’établissement.
Il y a ceux qui sont au fond, à droite.
Il y a les bouchés. Et les carrément sales. Les inondés.
Il y a les malodorants. Et les carrément repoussants.
Il y a ceux dont il faut vraiment, vraiment avoir besoin
pour persévérer.
Ceux qui nécessiteraient d’en faire une, de
toilette.
Ceux dont l’aisance n’est que dans le nom.
Il y a ceux où l’on se pose la question : mais
pourquoi, alors qu’il y a du papier et une chasse en usage, les trouve-t-on
dans cet état ?
Ceux dont les graffitis sont quelque fois amusants.
Ce qu’il y a de certain, c’est qu’à la fin de tout voyage, j’en
ai vus de toutes les couleurs, et j’ai toujours l’impression, contrairement au
mot usuellement épinglé, que je les quitte dans un état plus propre qu’à mon
arrivée. Je fais en sorte que l'eau coule, je remplace un rouleau, j'essuie.
Et par ces petites choses, insignifiantes, en pensant à mon
prochain (ou à ma prochaine), je crois rendre le monde un tout petit peu
meilleur.
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