Tous les matins,
à la fenêtre,
le brouillard nous accueillait.
Il montait,
il descendait,
il cachait et découvrait,
tour à tour,
le soleil timide,
au gré des respirations d'une campagne
généreuse et lasse.
Au loin, des cris d'oiseaux,
quelques aboiements,
peut-être un train,
quelques traces de vie...
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