mardi 12 mars 2024

Vivre : grandeur nature

 

Ces derniers temps, ô miracle, pas de voiture, pas de promeneurs croisés lors de nos balades. Juste quelques chevreuils, un ou deux renards, sans compter les busards. Et bien sûr les chants, le vent, les feuillages naissants. Il faut dire que nous sommes là-haut avant sept heures et que nous y remontons à la pause de midi, quand tout le monde est en train de s'attabler. A contre-temps, nous récupérons un territoire immense où personne ne vient nous importuner. Un territoire encore plus beau, plus grand depuis que le chemin reliant deux villages se retrouve en chantier, le trafic dérouté. Vivement que les travaux se fassent avec toute la lenteur exigée!
 

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