Eglise de Cairanne / mai 2017
Il m’avait posé évasivement la question début décembre : n’avais-je pas toujours été passionnée par les kaléidoscopes ?
(oui, c’est vrai, j’en ai toute
une collection dans mon bureau, et pendant de nombreuses années, j’en avais même emportés
quelques uns au travail, auxquels j'aimais consacrer de précieuses secondes
entre deux clients, durant certaines après-midi particulièrement exténuantes).
L’imaginant chercher une idée de
cadeau pour sa nouvelle dulcinée, je lui avais vanté les mérites de La Marelle,
antre magique située dans une ruelle pavée, au cœur de la vieille ville de L., où l’on pouvait trouver « les
rolls-royce de la kaléidoscopie ».
Et voici que, l’autre soir, m'attendait sous le sapin un joli tube avec une étiquette rouge à mon nom. Pour une surprise, ce fut
une splendide surprise, enveloppée dans du papier artisanal florentin. J'ai plongé l’œil dans la lunette et découvert une nouvelle manière de concevoir le quotidien et ses magies... d'accéder au privilège de la rêverie...
... quand, et en dépit des excès en tous genres, le cadeau de Noël est du pur amour rendu visible...
Coucou. Ah! La marelle... un lieu magique! :-) Bises alpines.
RépondreSupprimerLa Marelle, le magasin magique qui fait rêver les adultes gardant en eux leur enfant de six ans bien vivant...
RépondreSupprimerUne collection ? Veinarde Dad :)
RépondreSupprimerJe reviendrais sur cet article qui me tient particulièrement à coeur... si toutefois je me revaille demain :)
Bises, Dad et douce nuit.