Madonna con santi e donatori (détail) / Vincenzo Foppa / Musei civici / Pavia
Que cachent les gens, les gens que l’on croise, que l’on
salue, que l’on voit derrière les guichets,
sur les quais, debout sur le
trottoir d’en face ? Sont-ils en deuil ? Quels sont leurs
emmerdements ?
Derrière leurs visages pâles ou absents, ont-ils des soucis, un proche malade ou, eux-mêmes, sont-ils
souffrants ?
Dans l’anonymat ou dans la banalité des rencontres
quotidiennes, si l’on savait ce que cachent les gens...
Des malheurs mais aussi des bonheurs. Certainement. Bises alpines printanières.
RépondreSupprimerEn fait, c'est le titre qui donne le ton du billet. Les gens heureux n'ont, il me semble, pas tellement besoin de notre indulgence. Tandis que ceux qui souffrent, ce sont ceux qu'on a le plus de peine à comprendre, qui sont le plus fermés, tendus...
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