Hier, en descendant du train, et malgré le fait que nous n'échangeons pas plus de deux ou trois mails par année, que nous ne nous téléphonons jamais (à l'heure où tout le monde utilise sans interruption son smartphone), que notre dernière rencontre datait de quatre ans (nous qui vivons à moins de deux heures de train l'une de l'autre), il m'a semblé tellement naturel d'embrasser A. et de poursuivre notre dialogue comme si de rien n'était. Comme si le temps n'avait pas passé entre deux.
samedi 9 juillet 2016
Vivre : naturellement
Hier, en descendant du train, et malgré le fait que nous n'échangeons pas plus de deux ou trois mails par année, que nous ne nous téléphonons jamais (à l'heure où tout le monde utilise sans interruption son smartphone), que notre dernière rencontre datait de quatre ans (nous qui vivons à moins de deux heures de train l'une de l'autre), il m'a semblé tellement naturel d'embrasser A. et de poursuivre notre dialogue comme si de rien n'était. Comme si le temps n'avait pas passé entre deux.
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