Nymphéas / Monet / Musée Marmottan / Paris
Pourquoi n'étais-je pas revenue
depuis sept ans ?
Pourquoi avoir laissé passer tout ce
temps ?
Sans doute, trop de foule trop
de gens trop d'engagements.
Pourtant... ils semblaient m'avoir
attendue patiemment.
Dans ce face à face intime, nous
étions là, les nymphéas et moi.
Nous avons repris le dialogue où nous
l'avions laissé.
Les vraies rencontres, en art comme entre humains,
résistent à la distance, ne réclament pas de fréquence.
Les vraies rencontres, en art comme entre humains,
demandent essentiellement disponibilité et présence.
Coucou Dad. Il y a des tableaux comme celui-là qui nous émeuvent particulièrement. Monet, j'aime le "fréquenter" dans ses jardins de Giverny. Il y règne une grande douceur de vivre, pleine d'émotion et de frémissement des fleurs.
RépondreSupprimerLes fleurs ont un langage que je ne retrouve pas toujours chez mes semblables. ;-) Bises alpines et belle soirée. Le soleil se couche sur les montagnes et le spectacle est féérique.
J’adore ce côté « allumé », cette peinture de jeune homme alors que Monet était âgé, un vieillard.
RépondreSupprimerIl donnait l’impression de n’avoir plus de limites, d’être totalement libre, au-delà des conventions. Et cette constante bascule entre le figuratif et le non figuratif, ces jeux de couleurs et de formes. Un bonheur! Belle soirée, dédé!