Enfant, je me
souviens qu’à l’atterrissage, les passagers applaudissaient avec vigueur. Nous jubilions pour décharger
l’anxiété sans doute. Avec la banalisation des voyages, c’est devenu
ringard. Tellement évident. Il n’empêche : à chaque fois que les roues effleurent le tarmac, ressentir cette joie, ce soulagement devant le miracle qui se renouvelle. Rien ne va de soi. Rien n'est normal, banal, acquis. Alors, à chaque fois, je ressens tout au fond de moi une salve d'applaudissements.
Coucou ma Dad. Moi je suis tellement soulagée d'arriver saine et sauve que je ne pense même pas à applaudir... Bises alpines et enneigées.
RépondreSupprimerP.S. Marre de cette neige je crois. J'ai eu des problèmes pour remonter de la plaine en début d'après-midi. Il a fallu que je me parque pour attendre que les camions déneigent... ma voiture patinait dans chaque contour... Vivement la canicule pour faire fondre tout ça. :-))
Je ne te raconte pas l'aéroport de Genève hier, entre les retards, les annulations et les arrivées de touristes accueillis par des G.O. déguisés en Mexicains (oui oui). Un véritable miracle que cet atterrissage et ce retour à la maison, en patinant, en glissant, en priant pour ne croiser personne sur le petit chemin en sens inverse. Heureusement, all's well that ends well comme dirait ce cher William! Beau WE! D.
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