Il
y a des jours comme ça, où le seul luxe, la seule solution, le seul médicament,
c’est le rien. Le rien total. L’exigence zéro. Et il arrive alors que ce rien
se transforme en trois fois rien, en petits riens du tout, qui peuvent devenir
mille riens, mais qui au bout du compte, apportent ce petit rien qui manquait,
clef de voûte pour retrouver le fil.
Et
la santé.
J'avais de la peine avec le rien. Puis finalement, quand ce n'est plus possible de tout faire, j'apprécie de ne rien faire. Ou de faire moins. Il faut savoir s'écouter. Bises et belle journée.
RépondreSupprimerTu es proche de la méditation transcendantale... ;-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆