C'est si simple quand on y pense.
Il n'y a qu'à dire : je vais y réfléchir.
Et, tout bien senti, pesé, abandonner
dès lors qu'il n'y a nulle nécessité.
Il est sage de prendre le temps de la réflexion. En rapport indirect, cela me rappelle un texte que j'avais lu je ne sais où, qui parlait de la consommation. Lorsqu'on rentre dans un magasin, et que l'on choisit un vêtement par exemple. Avant de l'acheter, faire le tour du magasin avec le vêtement sur le bras, et bien souvent nous irons remettre le vêtement à sa place et nous ne l'achèterons pas. Se laisser le temps de la réflexion... Est-ce que j'en ai vraiment besoin, vraiment envie ? Finalement, non.. (sourire) Car combien d'achats avons-nous faits et que nous avons regrettés par la suite. Non ?... Moi, si. (sourire) Aussi maintenant, je suis vigilante (sourire).
Ce que tu appelles un rapport indirect concerne très directement ce billet, chère Françoise, car je pensais à toutes les sollicitations à consommer dont nous faisons l'objet en l'écrivant. Je remarque qu'il me suffit parfois de me donner le temps de faire un tour, ou de repasser le lendemain, pour que l'envie s'évapore. Les envies sont tellement passagères! Ce sont des états fugaces, à distinguer du besoin, qui lui reste, reste encore, tant qu'il n'est pas satisfait. En en prenant conscience, que de dépenses inutiles évitées!
Ne plus penser
RépondreSupprimerne plus réfléchir
juste Vivre
Juste vivre : beau programme.
RépondreSupprimerIl est sage de prendre le temps de la réflexion.
RépondreSupprimerEn rapport indirect, cela me rappelle un texte que j'avais lu je ne sais où, qui parlait de la consommation. Lorsqu'on rentre dans un magasin, et que l'on choisit un vêtement par exemple. Avant de l'acheter, faire le tour du magasin avec le vêtement sur le bras, et bien souvent nous irons remettre le vêtement à sa place et nous ne l'achèterons pas. Se laisser le temps de la réflexion... Est-ce que j'en ai vraiment besoin, vraiment envie ? Finalement, non.. (sourire) Car combien d'achats avons-nous faits et que nous avons regrettés par la suite. Non ?... Moi, si. (sourire) Aussi maintenant, je suis vigilante (sourire).
Ce que tu appelles un rapport indirect concerne très directement ce billet, chère Françoise, car je pensais à toutes les sollicitations à consommer dont nous faisons l'objet en l'écrivant. Je remarque qu'il me suffit parfois de me donner le temps de faire un tour, ou de repasser le lendemain, pour que l'envie s'évapore. Les envies sont tellement passagères! Ce sont des états fugaces, à distinguer du besoin, qui lui reste, reste encore, tant qu'il n'est pas satisfait. En en prenant conscience, que de dépenses inutiles évitées!
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