A l'aube, la vie déroule des mètres et des mètres de merveilles,
que d'aucuns négligeraient, que certains mépriseraient.
D'autres encore en rêveraient, les intégrant dans leur sommeil.
Nous nous contentons de les embrasser, ces cadeaux tombés du ciel.
Nous nous contentons de les embrasser, ces cadeaux tombés du ciel.
Ah ! Les promesses de l'aube !
RépondreSupprimerElles sont là sous nos yeux telles que tu les as saisies…
telles que je les ai vues en bord de Manche, 10 jours durant.
j'aime beaucoup ton texte. Il nous ramène à ces cadeaux qui nous sont sans cesse offerts. Nous sommes souvent dédaigneux et les repoussons bêtement.
Et après on se plaint !
La Manche, dont tu nous a parlé déjà si souvent, ses plages, ses ciels magnifiques... les paysages doivent être sublimes, changeants, (é)mouvants, des spectacles valant toutes les œuvres d'art... tu as dû t'en mettre plein les mirettes... pas de quoi s'ennuyer face à de tels tableaux! Oui, si souvent, peut-être parce que c'est gratuit, ou que c'est toujours là, on les néglige... c'est un peu con, on semble trouver que plus les choses se paient, plus elles sont rares, et plus elles ont de valeur... considération bêtement capitaliste...
SupprimerQue rajouter. Tout est dit.
RépondreSupprimerCe ciel comme un cadeau,comme une promesse, comme un espoir.
Merci beaucoup pour le partage.
Le ciel, un cadeau. C'est exactement ça : il suffit de lever les yeux et le cadeau est là.
Supprimer