C'est la mercière que je préfère (et dieu sait si j'aime les mercières). Entrer dans sa boutique deux ou trois fois par année est un passage obligé. Elle est minuscule et frêle. Elle semble avoir un caractère bien trempé. L'autre jour, effet de la pandémie ou de la météo perturbée, elle semblait mal lunée. Mais je l'ai attentivement écoutée quand, de sa voix de camionneur, elle m'a lancé : il faut savoir changer ses idées.
Je ne pouvais que l'approuver. Sans se laisser dé-ranger, déstabiliser, est-il possible de créer, d'inventer, de finalement trouver ? Je suis donc ressortie avec des petites roses en soie au lieu des pompons multicolores prévus (et m'en suis très bien trouvée...)
J'aime ces chaussure
RépondreSupprimerqui dans leur égalité
revendiquent leur différence
dans un sourire fleuri
Oui, elles sont rigolotes dans leur diversité et font espérer que l'été n'ait pas encore dit son dernier mot!
SupprimerIl ne te reste maintenant plus qu'à trouver une robe et un sac à main qui vont avec :-) :-) :-)
SupprimerToujours dans l'épure mais avec une touche de raffinement qui rend ces chaussures uniques....
RépondreSupprimer... et cela grâce à la mercière inspirée, qui est allée rechercher ces roses tout au fond d'un carton, tout en haut d'une pile...
SupprimerAu moins il y a une jolie rose de couleur différente, pour différencier la droite et la gauche. (C'est pour rire !)
RépondreSupprimerSinon je trouve que c'est assez « classe » !
C'est évident : la rose rose, c'est pour la gauche. Ce qui m'empêche de me tromper! Belle soirée!
RépondreSupprimerCette minuscule et frêle mercière a été de bon conseil, ces petites roses sont très jolies et vont à ravir avec ces chaussures découvertes (sourire).
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