Composition avec rouge et noir / Piet Mondrian / Kunstmuseum / Basel
La rentrée. Plus que jamais, nous voici confrontés aux limites. Celles que l'extérieur nous fixe et qu'il s'agit d'accepter. Celles que nous nous imposons, pour mieux atteindre les buts que nous nous sommes donnés. On a beau tergiverser, tenter de contourner, voire pester : où qu'on se dirige, les limites sont là et il faut s'y coller.
Du temps où je sévissais professionnellement, j'animais un module dans le titre était : « Nos limites sont nos chances »
RépondreSupprimerTes cours : Joli intitulé. En effet, c'est grâce aux limites qu'on se construit : autant apprendre le plus vite possible à les intégrer (apprendre à les accepter ou apprendre à les négocier). Mais... tout le monde n'a pas la chance d'apprendre ça avec ses parents, entre 3 et 13 ans! et tant qu'on n'a pas compris, on se cogne, on se cogne, et ça peut faire très mal!
SupprimerBelle soirée.
Les limites ne sont-elles pas là pour fixer un cadre. S’agissant du surmoi, pourvu qu'il ne soit pas tyrannique, peut avoir un rôle protecteur. Il est peut être, je crois, juste notre loi intérieure, un médiateur en quelque sorte. A chacun de trouver la liberté d’être soi entre toutes ces limites.
RépondreSupprimerBelle soirée.
Les limites et leur cadre sont nécessaires, oui. Le ça et le surmoi peuvent être effectivement terriblement tyranniques, chacun à leur manière. Le moi a pas mal à faire, pour leur laisser leur juste place! Il me semble... il me semble que leurs relations qui devraient idéalement être harmonieuses ne le sont pas toujours ... personne n'aime qu'on lui dise "non" ou "tu dois" et cependant comment vivre en société sans ça ?
SupprimerPS : J'ai bien lu votre joli commentaire ailleurs qu'ici. Comme vous pouvez le voir, j'y laisse place pour l'image, peu de mots et j'accueille volontiers les mots des autres, sans ressentir le besoin d'ajouter quoi que ce soit. Un espace calme et libre. Belle et douce soirée!