Rouge et blanc / Roger Bissière / 1950 / Annexe XXe Musée Granet / Aix-en-Pce
Il y a beaucoup de façons différentes de regarder n'importe quelle chose, quel fait ou quel processus. Un chien est un chien, sans plus. D'une certaine façon, il n'y a rien de spécial à cela et, en même temps, c'est extraordinaire, c'est même miraculeux. Cela dépend entièrement de la façon dont vous le regardez. Nous pourrions dire qu c'est à la fois ordinaire et extraordinaire. Le chien ne change pas quand vous changez la façon dont vous le regardez. Il reste toujours ce qu'il est, sans plus. C'est pourquoi les chiens, les fleurs, les montagnes et la mer sont d'excellents maîtres. Ils reflètent votre état d'esprit. C'est votre esprit qui change.
J. Kabat-Zinn / Au coeur de la tourmente / J'ai lu / p.284
La banalité n'existe pas. La routine non plus.
Ceux qui se plaignent que ce soit : dépassé, vieillot, répétitif, usé
n'ont rien compris aux infinies possibilités
des jours, des choses et des regards.
Coucou ma Dad. Je trouve que Monsieur Kabat-Zinn a une manière de voir le monde qui est intense, questionnante et revitalisante. Je devrais conseiller à un de mes collègues de le lire car il voit toujours tout en négatif et il est en boucle sur ce qui ne va pas. D'ailleurs, à force, cela devient pénible de le côtoyer. Et ceux qui sont négatifs influencent ceux qui tentent encore de voir les choses positives...
RépondreSupprimerAllez, je vais aller dire bonjour à Marley. C'est la chienne du garagiste qui est juste à côté du bureau. Elle est gracile, musclée et gentille tout plein. Et qui plus est, elle n'a pas une vie...de chien. C'est plutôt les hommes qui se fabriquent cette vie de chien...
Bises alpines très humides. Les dieux du ciel devraient se calmer car là, on a assez d'eau pour remplir tous les bisses pendant longtemps. :-)
Ouaf!
Oh merci de ton passage, chère dédé, j'ai bien pensé à toi aujourd'hui, mais n'étais pas en mesure d'écrire quoi que ce soit. Oui, JKZ est intéressant. Et re-oui, les gens négatifs sont pénibles à fréquenter. On voudrait pouvoir établir une zone de séparation entre eux et nous, mais on ne peut pas toujours. Peut-être que seule la patience d'un chien aimant pourrait leur donner un brin de sourire.
RépondreSupprimerPour l'eau, c'est sur, en Suisse, on n'en manque pas. C'est injuste, car comme dit le proverbe : il pleut toujours où c'est mouillé! Belle soirée! D.