Léman depuis Ouchy
Ecouter la voix de la
sagesse :
« Vous pouvez diriger
la bonté aimante vers vos parents, qu’ils soient vivants ou morts, en leur
voulant du bien, en souhaitant qu’ils ne se sentent pas seuls ou souffrants, en
leur rendant hommage. Si vous vous en sentez capables et que cela vous semble
bénéfique, et libérateur pour vous, faites une place dans votre cœur d’où vous
leur pardonnerez leurs préjugés, leurs peurs, leurs mauvaises actions et le mal
qu’ils vous ont fait. Souvenez-vous du vers de Yeats : « Et comment
pouvait-elle faire autrement, étant donné ce qu’elle est ? »
[…] En invoquant de
semblables sentiments dans notre pratique, nous repoussons les limites de notre
propre ignorance, tout comme dans le yoga nous étirons nos membres contre la
résistance des muscles, des ligaments, et des tendons. Ainsi, dans cet
étirement, aussi douloureux qu’il soit parfois, nous nous développons, nous
grandissons, nous nous transformons, nous transformons le monde. » ***
Et, comme chaque semaine,
prendre le train.
*** Jon Kabat-Zinn, Où tu vas tu es.
J'aime bien le yoga mental de J K-Z
RépondreSupprimerJolie métaphore, difficile mais enrichissante.
¸¸.•*¨*• ☆
Oh oui, difficile, tu peux le dire... le streching émotionnel. Certains jours, je manque de souplesse, c'est peu dire. Belle fin de journée, chère Céestine! D.
SupprimerCoucou. Et voilà que j'ai commencé à lire le livre que tu cites. J'ai lu quelques pages hier soir et je me suis endormie. Que c'est difficile de "pardonner", de dépasser ce qui nous a fait mal. Mais peu à peu, cela est libérateur pour soi. C'est tellement important mais tellement exigeant. Je t'envoie mes chaleureuses pensées. (bon, il fait chaud...) je n'ose quand même pas dire que je t'envoie mes pensées glacées. Enfin. Allez, hop. Bises alpines rafraîchissantes, c'est bien mieux.
RépondreSupprimer...tu t'es endormie...?...tu le trouvais soporifique?... (remarque, c'est déjà une sacrée qualité pour un livre, que de permettre un bon endormissement...) :-) ça évite des tisanes, des médocs!!! Trève de plaisanterie, oui, pardonner, c'est libérateur et en même temps, c'est tout un chemin à faire, car ça ne se commande pas. ça demande de faire un travail de mémoire, de traverser des moments de rage, de tristesse, pour finalement en arriver à se dire que les choses qu'on pardonne sont finalement loin derrière nous et que le présent peut nous apporter tellement plus. Car le passé doit être élagué. Oui, le ménage doit être fait, pour faire place à l'à venir. Te souhaite une très belle soirée, très chère, et fais de doux rêves! D.
RépondreSupprimerNon. Pas soporifique mais j'avais fait une insomnie de 3 heures environ la nuit d'avant. J'étais donc claquée. Alors ma chère. Bon à venir. 😊
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