A chaque fois que j’entends
les accords de Veridis quo,
je me souviens, cette
excursion à Mljet.
Le vent à l’aller, le vent
au retour.
Le tangage incessant.
durant toute la traversée,
nos corps projetés en
arrière en avant,
sautillant, oscillant à contretemps.
Dans cet univers bleu :
bleu, le bateau, bleu le
ciel,
bleues les vagues, bleues les
îles,
bleu, un linge,
bleus, tes yeux,
bleus, tes yeux,
le regard porté sur la mer,
scrutant le large,
la traversée comme une attente,
la traversée comme une attente,
une longue tension,
avec des variations bleues.
avec des variations bleues.
Excellent! Daft Punk à fond la caisse sur mon ordinateur et j'ai commencé à siffloter. Et puis j'ai embarqué avec vous mais je me suis fait toute petite pour ne pas vous déranger et j'ai aussi apprécié le ciel bleu et la belle bleue. Et les mouettes aussi. Et puis après j'ai commencé à avoir mal au ventre... alors j'ai vite sorti mes petites pastilles à chiquer pour éradiquer le mal de mer. Eh oui, je n'ai pas du tout le pied marin.
RépondreSupprimerEn bonne montagnarde. ;-) Bises alpines rafraîchissantes
eh bien moi, je n'ai pas le pied terrestre. Je continue à tanguer pendant 24 heures, comme si les vagues étaient encore à l'intérieur de moi. J'aimerais ne pas souffrir du vertige des hauteurs, pouvoir escalader des sommets : j'en suis incapable, hélas, et j'admire les montagnes de loin. Merci de tes envois rafraîchissants, on a en bien besoin ici. Belle journée (bleue et verte)! D.
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