Durant
tout l’hiver elles ont fait leurs délices de nos restes,
épiant
le moindre de nos mouvements,
pas
moyen d’ouvrir la porte
sans
les voir rabouler dare dare.
(des
voisines futées, élégantes, mais un brin envahissantes,
et
puis quelles bavardes !)
Fini
de jaser !
On
les voit maintenant s’affairer,
ombres
chinoises sur fond d’azur.
Sont en train d’aménager un loft dans le feuillu d’en face.
Vu les progrès du chantier,
on
entendra sous peu les petits pépiller.
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