Parc de Rungstedgaard
Certains matins d’été
assombris, orageux,
quasi menaçants,
la tristesse affleure.
Une méchante petite fouine
aux aguets.
Et pourtant,
dès les premières gouttes,
sentir le frémissement des
plantes,
leur délivrance,
leur infinie gratitude.
Parvenir à accueillir comme elles.
Ici en montagne le brouillard et le froid règnent en maître. Difficile d'apprécier car ils me cachent mes montagnes. Je vais redescendre en plaine cet après-midi. Bises et belle journée quand même.
RépondreSupprimer