Qu’est-ce qu’elle disait
déjà hier soir, Lior Shoov, la chanteuse-clown qui dansait comme un papillon
tout en jouant de la sanza ?
Dès que j’accepte d’être vulnérable, c’est là où souvent les portes s’ouvrent.L’improvisation m’a beaucoup aidée à faire confiance au moment présent.
Je laisse vraiment la place à pas savoir. Ça, c’est une clef. Je laisse la place à ça. Je fais dedans ça,
et je chante ça.
On prend soin de ce moment, parce qu’il est là pour nous faire voir comme la vie est merveilleuse.
Elle est merveilleuse.
La vraie, la superbe compétence, c'est exactement ça : se jeter à l'eau dans le pas savoir.
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