Cet hiver peut être glacial, quand je lis dans ses
yeux l’absence,
et qu’elle s’absente de plus en plus souvent, de plus en plus
loin.
Cet hiver peut être sombre brumeux, quand des
relents de fumée m’accueillent
et qu’il me faut mordre dans la viande
carbonisée pour partager sa table.
Cet hiver peut être drôle aussi, quand, voulant me
parler de R. elle dit :
« ton ma… ton ma… ton matou ! »
Pas tous les jours drôle sans doute. Mais ces petits moments de drôlerie doivent être saisis au vol. Et je suis sûr que R., ton matou, doit être content, d'être appelé ainsi. Il doit ronronner de plaisir. ;-) Courage ma belle pour cette traversée faite de rebondissements. Je t'embrasse bien fort.
RépondreSupprimerMerci de ton passage. J'imagine qu'en passionnée de montagne tu dois profiter des merveilleux après-midis que nous offre cet automne ? Suis passée récemment par le Gd S.B. et c'était à la fois immensément beau et immensément serein. Profite!
RépondreSupprimerBelle après-midi, chère Dédé!