Visioni del Sud / Giuseppe Palumbo / Torre Mata / Otranto
Casarano / marché de bétail / 1917-1918
Casarano / marché de bétail / 1917-1918
En italien, on dit : la.
En français : les.
C’est sans doute la langue française qui est au
plus juste, car :
d’une ville à une autre
d’un rivage à un autre
d’une région à une autre,
les attitudes, les règles,
les atmosphères pouvaient être si différentes
qu’il nous semblait sans cesse traverser d’invisibles
frontières.
Sur la route, avalant les kilomètres,
nous étions comme des papiers buvards,
curieux et prêts à absorber les caractéristiques
de l’étape suivante.
Une seule chose s’est confirmée :
Rien ne s'est jamais présenté comme nous l’avions imaginé.
C'est sans doute la grande magie des voyages, bonnes ou mauvaises, ce sont toujours des surprises.
RépondreSupprimercar si tout était convenu, ou serait le plaisir de la découverte ?
¸¸.•*¨*• 🦋
Coucou ma chère. Se laisser surprendre. C'est être curieux et cela fait partie de l'intelligence du coeur. Je prends toujours cela dans ma trousse de voyage. Bises alpines
RépondreSupprimerNous ne devrions jamais imaginé, mais attendre, et voir, car l'imagination nous joue bien des tours parfois... :-)
RépondreSupprimerBonne soirée, Dad.
Je rectifie ! "Nous ne devrions jamais imaginer" !
RépondreSupprimerOui, bien sûr, Françoise, mais peut-on s'interdire d'imaginer ? L'imagination nous fournit un corpus d'images, qui nous donnent envie d'aller à la découverte. Sans elle, aurions-nous envie de partir (découvrir des territoires, ou même des gens)? Peut-on vraiment ne rien attendre ? On passe notre temps, je crois, à rectifier ce qu'on avait imaginé, pour nous adapter à la réalité vécue. On se réadapte toujours, à chaque instant. Le problème, c'est quand nous rejetons cette réalité, parce qu'elle nous déçoit trop, ou qu'elle est trop éloignée de ce qu'on recherchait. Merci de ta visite et très belle soirée à toi"D.
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