La fiancée juive / Rembrandt / Rijksmuseum / Amsterdam
Je lui ai dit : tu te rends compte ce que
nous…
Je lui ai dit : tu te rends compte tout ce que
tu...
Et lui m’a répondu : et toi, toutes les fois
que…
Tu réalises tout ce que toi, tu…
Nous avons ainsi des dialogues à la syntaxe
bancale.
Cependant, ils nous conduisent toujours à
l’essentiel :
le baiser, respectant toutes les règles de la
langue.
J'espère que le baiser, si la langue est de bois, ne fait pas trop mal. :-))
RépondreSupprimerSi la langue est fourchue, ce doit être très impressionnant.
Attention également à la langue de vipère, elle peut faire mal aussi.
Et si on tient sa langue, c'est moins bien.
Et si on a quelque chose au bout de la langue, c'est vraiment de l'altruisme de le partager.
Et c'est quand même mieux, pour s'embrasser, de ne pas avoir sa langue dans sa poche, car cela compliquerait vraiment les choses.
Allez, je suis de bonne humeur. Bises alpines ma chère et profite bien des joyeux rayons du soleil.
Ah ah ah! je vois que la grammaire t'inspire, chère Dédé! Tu m'as transmis ta bonne humeur et le soleil qui pointe également. Aujourd'hui tout semble brillant, décidément ! Passe une très belle journée!!! D.
SupprimerTu te rends compte comment que j’aime ce billet ?
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
comment qu'tu l'aimes ? trop bien, alors! soleil, détente et sérénité à toi, belle visiteuse!
RépondreSupprimerAlors tout le monde est content aujourd'hui. C'est bien. 😊
RépondreSupprimerOui toujours quand je viens visiter vos blogs, les deux D comme Délicieuses...
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆