Sur la route entre Alberobello e Gioia del Colle
En définitive, tout s’est bien passé :
Nous avons visité des lieux pleins de charme, des
rivages pittoresques
(les photos sont là pour l’attester)
Nous avons rendu la Panda sans une égratignure.
Nos vols à l’aller et au retour ont respecté les
horaires prévus.
Notre budget n’a connu aucun écart.
Mais… il n’y a pas eu d’étincelle. Pas de déclic.
J’ai quitté le tarmac sans me retourner.
Il en va sans doute des territoires comme des
personnes :
Parfois, il n’y a pas de véritable rencontre,
malgré les indubitables mérites et les indéniables beautés
qu’on est tout disposés à reconnaître et qu’on s’évertue
à lister.
Il arrive qu’on prononce un au revoir de politesse
tout en entendant résonner un adieu définitif au
fond de soi.
Tout n'est pas programmé, et heureusement. Nous pensons vibrer lors d'un beau voyage, et rien ne se passe. Nous rentrons chez nous, et en voyant un magnifique arbre au feuillage d'automne, ou bien des biches sur la colline là-haut, nous vibrons et sourions de bonheur... :-)
RépondreSupprimerBelle fin de dimanche, Dad.
Un magnifique arbre, des biches... tes évocations me vont droit au coeur, Françoise. La beauté de la nature, c'est la première chose qui m'a frappée en rentrant ici. Et l'irrespect vis-à-vis d'elle, une violence constatée de manière répétée là-bas, m'a profondément touchée. Merci et très belle semaine à toi! D.
RépondreSupprimerJe comprends. j'ai éprouvé cela quelquefois: la déception est grande dans ces cas-là. mais un soulagement de se retrouver dans un environnement familier que l'on croyait vouloir oublier, alors qu'il nous rappelle à quel point nous l'aimons.
RépondreSupprimerY aura quelques photos quand même ? ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Oui. Oui, parmi la multitude d'émotions, la déception. Oui, le soulagement.
RépondreSupprimerEt oui : il y aura quelques photos. Beau lundi, ma chère Célestine!D.