La Madone en trône adorant l'enfant Jésus (détail) / Antonio da Negroponte / San Francesco della Vigna / Venise
Je me suis toujours vue comme une piètre jardinière,
trop émue par toutes les plantes et leur créativité
(sensible surtout aux herbes, folles ou mauvaises)
nulle en pelouse et en allées, douée pour les prés.
Mais depuis peu, j'ai posé un nom sur ce que je fais :
je cultive avec délice et hardiesse la biodiversité.
Coucou Dad. Tu dois être une excellente cultivatrice. ;-) Bises de plaine pressées.
RépondreSupprimereh! il n'y a aucune obligation de commenter ici! si tu es pressée, perso, je préfèrerais que tu sois douce avec toi-même et que tu prennes plutôt le temps de deux belles, lentes respirations. Allez! Je t'embrasse. Prends bien soin de toi!
RépondreSupprimerRecoucou. Je ne commente pas par obligation chez toi. D'ailleurs je ne commente par obligation chez personne. Mais il est vrai que la blogosphère me prend parfois beaucoup d'énergie. Allez, je vais discuter avec Solange. ;-)
SupprimerJe suis parfois trop protectrice, j'ai toujours tendance à vouloir soulager les gens de leur stress. C'est vrai qu'ils sont libres d'aller au rythme qui est le leur. Donc... belle soirée et belle conversation avec Solange. Rien de mieux qu'un tel échange, quand arrive le soir.
RépondreSupprimerPS : j'ai sauvé ce matin une de ses congénères, une toute petiote, toute tremblante, qui se tenait... au milieu de la chaussée, complètement tourneboulée, la pauvre. Un auto aurait pu lui rouler dessus. Elle m'a copieusement couverte de cui-cuis, tandis que je la déposais sur le bas-côté. Trop protectrice, je te dis!!!
Solange te décerne la Médaille d'Honneur pour Actes de Courage et de Dévouement. ;-)
SupprimerCela ne t'étonnera guère, Dad, si je te dis que je suis également plus douée pour les fleurs et herbes des prés. Depuis quelques années, j'ai tout de même obtenu de mon mari qu'il ne passe pas la tondeuse si ras (ce qu'il faisait avant, il trouvait que cela faisait bien propre, je trouvais que cela faisait moche de moche, et pas vivant !). Donc, maintenant, il maintient la coupe bien plus haut, et les petites pâquerettes et petites fleurs peuvent passer dessous, et ne sont pas systématiquement coupées. :-)
RépondreSupprimerNous avons fini par trouver un consensus à ce sujet : dans le pré, il a dessiné deux rectangles (de deux mètres sur trois environ) où le pré est laissé à sa créativité. C'est même assez joli : ces hautes herbes fleuries, délurées, où les papillons et les abeilles viennent butiner. rien de plus triste pour moi qu'un gazon : c'est le niveau 0,1 de la végétation, un manque cruel d'imagination. Belle soirée, passe une douce nuit, Françoise!
RépondreSupprimerTu vas sourire, Dad, mais j'ai dans mon pré, derrière la maison, un massif de fleurs et d'herbes sauvages où la tondeuse ne passe pas. Ici, tout ce qui veut pousser, pousse ! Je ne désherbe pas, et ma foi, tout cohabite plutôt bien. Comme quoi ! :-)
SupprimerAh nous avons des terrains ... d'entente!
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