dimanche 20 octobre 2019

Vivre : séparer, distinguer


 Tombe de l'empereur Henri II et de Cunégonde du Luxembourg (détail) / Cathédrale / Bamberg

Difficulté de très haut degré : 
savoir séparer ce qui est à soi 
de ce qui ne nous appartient pas
(naturellement sans culpabilité) 
 

4 commentaires:

  1. Et pourtant il est indispensable de le faire pour se protéger et aussi pour ne pas empiéter sur la vie de l'autre.
    Belle fin de dimanche, Dad.
    Chez moi, un temps tout gris et pluvieux, mais il y a aussi un joli ciel (que je viens de m'empresser de prendre en photo :-)).

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    1. Indispensable, oui, mais ô combien difficile... que de fois prend-on sur soi des problèmes qui ne nous concernent pas ? Oser définir les limites et dire : non, cela ne m'appartient pas. Oser. Ce n'est pas si facile, je crois. Et c'est souvent mal pris, quand on redonne à l'autre ce qui lui revient.
      PS : c'est marrant, je viens de faire une série de photos grises du lac sur lequel s'aventuraient deux petits voiliers, photos grises, turquoises, pastels.

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  2. Et bien j'ai cogité toute la journée pour savoir comment m'en sortir au travail et justement, faire la part des choses entre ce qui est à moi (mes valeurs, mon comportement, mes envies, mon éthique) et ce qui ne m'appartient pas (les valeurs de la boîte, les comportements de mes chefs, leurs envies, leur éthique) La conclusion, douloureuse, c'est que je vais devoir sans doute changer car rien n'est compatible et supportable en l'état. Bises alpines et belle soirée.

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    1. Faire la part des choses. Ne pas prendre sur soi ce qui ne nous revient pas. Poser des limites claires. Clarifier sa ligne. C'est indispensable si on ne veut pas s'engluer dans des problèmes sans solution. Mais... dans certains cas, ce n'est pas chose facile. Cela demande d'être ferme, de savoir qui l'on est et ce que l'on veut (vaut). Belle soirée, chère Dédé.

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